Le Point Fort d’Aubervilliers : le tiers-lieu de la gentrification ?

La future piscine d’entraînement pour les Jeux Olympiques 2024 qui a d’ores et déjà détruit une partie des Jardins Ouvriers d’Aubervilliers n’est que la pointe émergée de l’iceberg de l’aménagement urbain dans le secteur nord de la ville, celui du Fort d’Aubervilliers. Un écoquartier sortira de terre dans les prochaines années. À l’intérieur du fort une friche culturelle, le Point Fort, ouverte en décembre 2021, préfigurant la vie nocturne du nouveau quartier. Une opération publicitaire qui masque la gentrification ?

La joyeuse machine de guerre du Grand Paris se lance sans frein vers l’avenir. Avec ses chantiers pharaoniques et ses infra­struc­tures futur­istes, le pro­jet d’amé­nage­ment se vend comme métro­pole de l’avenir. Un espace urbain cal­i­bré dans les détails  pour vous garan­tir une expéri­ence de vie saine, écologique et à l’abri de tout imprévu. Une entre­prise qui peut bien deman­der le sac­ri­fice de quelques arbres, ou même de la vie de quelques ouvri­ers de temps en temps, n’est-ce pas ? Un tel pro­jet ne peut pas nég­liger la place peut et doit occu­per dans la vie des mét­ro­pol­i­tains du futur. C’est le rôle dévolu au Point Fort, nou­veau tiers-lieu cen­sé représen­ter l’am­bi­tion de  « val­oris­er le pat­ri­moine cul­turel du Fort et garan­tir un ancrage local » nous dit Sandy Mes­saoui, directeur du ter­ri­toire « Grand Paris Est » pour l’aménageur Grand Paris Amé­nage­ment (GPA). Ne serait-il pas au con­traire le joli masque d’une gen­tri­fi­ca­tion autrement agressive ?

Au milieu de toute cette forêt de grues, béton­nières et bull­doz­ers qui se pré­pare, un espace de cul­ture et de loisirs a déjà vu la lumière. Le Point Fort, situé dans le secteur « Cœur de Fort », à prox­im­ité des case­mates et des for­ti­fi­ca­tions du Fort qui ne seront pas détru­ites, a été offi­cielle­ment inau­guré le 8 décem­bre 2021 avec un con­trat d’occupation tem­po­raire d’une durée de cinq ans. Le lieu s’insère dans la glo­rieuse tra­di­tion des « frich­es cul­turelles » et de l’urbanisme tran­si­toire1 : des espaces pro­vi­soire­ment vides sont occupés par des instal­la­tions cul­turelles et de loisirs, qui pré­fig­urent en générale une instal­la­tion pérenne ou de nou­veaux bâtiments. 

Le Point Fort se struc­ture en deux halles cou­vertes et un chapiteau aux­quels vont se rajouter, courant 2022, deux pavil­lons et qua­tre case­mates. Le lieu se veut une « place forte cul­turelle », capa­ble de met­tre en valeur les « cul­tures pop­u­laires d’ici et d’ailleurs », explique Kamel Dafri, directeur de l’association Villes des Musiques du Monde, dans un entre­tien paru sur Enlarge Your Paris, média qui met en avant la pro­gram­ma­tion cul­turelle du Grand Paris 2. Avec le Point Fort, le théâtre équestre Zin­garo et l’artiste Rachid Khi­moune, par­mi d’autres arti­sans et artistes, occu­pent le fort depuis longtemps et ont une renom­mée internationale.

Villes des Musiques du Monde existe depuis plus de vingt ans et pro­pose chaque année le fes­ti­val du même nom. Pour Zakia Bouzi­di, adjointe à la cul­ture de la Mairie d’Aubervilliers : « Ville des Musiques du Monde attire des pop­u­la­tions qui sont éloignés de l’offre cul­turelle. Bien sûr que la ville entend soutenir cela » en renou­ve­lant la con­ven­tion avec l’association, qui lui garan­tit des sub­ven­tions tous les ans. Mathilde Lise, attachée de presse pour Villes des Musiques du Monde, souligne que « l’association a été sol­lic­itée par Grand Paris Amé­nage­ment (GPA) et la mairie d’Aubervilliers pour jouer ce rôle de pro­gram­ma­teur cul­turel au sein du Fort ». Un rôle de pre­mier plan, au vu de l’espace géo­graphique­ment cen­trale et de liai­son que la friche cul­turelle occupe entre les archi­tec­tures du Fort qui vont être préservées et le nou­veau quarti­er prénom­mé « Jean Jau­rès ». Une ques­tion se pose : dans une opéra­tion d’aménagement qui tend à la val­ori­sa­tion du fonci­er au prof­it d’aménageurs privés, quel sera réelle­ment l’autonomie d’une asso­ci­a­tion telle que Villes des Musiques du Monde ?

Des écocides aux écoquartiers

La plu­part des frich­es cul­turelles fer­ont à l’avenir l’objet d’un pro­jet immo­bili­er, petit ou grand. Dans le cas du Fort d’Aubervilliers, c’est un quarti­er entier qui doit sor­tir de terre, et même un « éco­quarti­er » : 900 loge­ments d’ici 2024 (date butoir pour les Jeux Olympiques, grands accéléra­teurs du Grand Paris), aux­quels vien­dront s’ajouter 900 autres à terme, un groupe sco­laire, une crèche, des com­merces, des arti­sans. Une bonne vieille coulée de béton, un des pro­duits les plus pol­lu­ants au monde, qui vis­i­ble­ment n’empêche pas d’utiliser le pré­fixe « éco » pour désign­er un quarti­er. Qui plus est un « quarti­er mixte » revendiquent les amé­nageurs 3, met­tant en avant la place des locaux dédiés à la « Cul­ture et à la Créa­tion » au sein du nou­veau quartier.

GPA, la Mairie d’Aubervilliers, Plaine Com­mune et l’état (via la pré­fec­ture) sont les prin­ci­paux financeurs directs ou indi­rects de ce pro­jet. GPA, en par­ti­c­uli­er, est pro­prié­taire du ter­rain depuis 1973, et a comme rôle de dévelop­per les pro­jets d’aménagement du Grand Paris. Dans le cas du Fort, cet EPIC (Étab­lisse­ment Pub­lic à car­ac­tère Indus­triel ou Com­mer­cial) démarche les con­struc­teurs et mets à dis­po­si­tions les ter­rains. Un investisse­ment qui sera large­ment dépassé par les prof­its immo­biliers des pro­mo­teurs, par­mi lesquels Immo­bel. Cette boîte, qui vante 223.000 m² de pro­jets en développe­ment, met en avant la posi­tion idéale du nou­v­el éco­quarti­er par rap­port aux équipements en con­struc­tion dans les alentours.

Dans le secteur du Fort d’Aubervilliers, c’est effec­tive­ment un foi­son­nement inédit de chantiers qui sur­prend les habitant·es d’une des villes les plus pau­vres de l’hexagone. Le cal­en­dri­er prévoit, dans l’ordre chronologique : la livrai­son de la piscine olympique située dans les par­ages de la gare de la ligne 7 du métro, en jan­vi­er 2024 ; la con­struc­tion du nou­v­el éco­quarti­er « Jean Jau­rés » au sein du Fort, en 2025 ; l’inauguration d’une nou­velle gare de métro, cette fois-ci liée à la ligne 15 (Grand Paris Express), en 2030. La cité de la Mal­adrerie, à quelques cen­taines de métres du Fort, est intéressée, elle aus­si, par un pro­jet de réno­va­tion qui implique des rési­den­tial­i­sa­tions et des pri­vati­sa­tions, con­tre lesquelles se bat un col­lec­tif d’habitant·es. Un pro­jet qui n’a pas de lien direct avec celui de l’éco-quartier, mais qui par­ticipe des change­ments intens­es et rapi­des dans ce quarti­er pri­or­i­taire, comme ne man­quent pas de le remar­quer les amé­nageurs dans une réu­nion pré­para­toire de 2018.

« C’est des projets qui se veulent écologiques, artistiques, mais j’ai du mal à voir le rapport avec les artistes et les associations qui existent déjà à quelques pas de là »

Le col­lec­tif de défense des Jardins dénonce le « green­wash­ing immo­bili­er » con­sti­tué par le pro­jet d’écoquartier, un « saccage » qui vise surtout à « faire venir des gentes plus rich­es qui vivront à l’écart du reste de la ville, à rem­plir les poches des pro­mo­teurs et de l’État, et à sat­is­faire des élu.e.s qui se réjouis­sent de repouss­er les pau­vres tou­jours plus loin »4.C’est l’intégralité de ce con­texte de développe­ment urbain que cri­tiquent ses opposant·es, par­mi lesquel·les les mem­bres du col­lec­tif de défense des Jardins Ouvri­ers des Ver­tus. Ces Jardins cen­te­naires ont été objet d’une occu­pa­tion de plusieurs mois, ter­minée avec l’évacuation de cette Zone à Défendre (ZAD) urbaine et avec le début du chantier pour la piscine d’entraînement olympique. Le col­lec­tif s’attaque notam­ment à l’idée même de con­stru­ire des nou­veaux immeubles dans une des villes avec le moins d’espaces verts du 93, ain­si qu’au faible taux de loge­ments soci­aux prévu (18%) par rap­port à la moyenne de la ville (39%). Une posi­tion qui remet en ques­tion toute l’opération d’aménagement, Point Fort compris.

Le Point Fort d’un nouvel urbanisme

Philippe a par­ticipé à une action de per­tur­ba­tion de l’inauguration du Point Fort en décem­bre dernier con­tre « l’urbanisme de merde » comme le nom­mait une des ban­deroles déployées à cette occa­sion : « Nous avons dérangé cette inau­gu­ra­tion aux cris de ‘Ni Solar­i­um ni éco­quarti­er’, qui est notre posi­tion depuis longtemps, et on a été con­fron­tés par des femmes de Villes de Musiques du Monde, com­plète­ment effarées. Elles com­pre­naient pas pourquoi on s’en pre­naient à elles. On leur dis­ait ‘vous servez de cau­tion à cette opéra­tion d’urbanisme’ ».

Zakia Bouzi­di, elle, min­imise l’action : « Il y a eu effec­tive­ment un dérange­ment lors de l’inauguration, mais c’était le col­lec­tif des Jardins, ça n’a rien à voir avec le Point Fort ». Une posi­tion partagée par Mathilde Lise. L’attachée de presse de Villes des Musiques du Monde souligne la dis­tinc­tion nette entre les événe­ments des Jardins et le pro­jet du Point Fort : « C’est vrai, ils sont venus lors de l’inauguration, mais c’était plutôt pour pro­test­er con­tre les politicien·nes qui ont voté le pro­jet de piscine que con­tre le Point Fort ». Philippe, de son côté, n’est pas sûr de vouloir dif­férenci­er les deux sujets : « Pour nous, le Point Fort sert de cau­tion à cette opéra­tion d’urbanisme. Du moment où l’écoquartier sera con­stru­it, tout ce qui se fera dedans peut être inter­prété comme pro­pa­gande de GPA ».

À en juger de la com­mu­ni­ca­tion des pro­mo­teurs et de GPA, en tout cas, il est dif­fi­cile de lui don­ner tort : la piscine olympique est claire­ment présen­tée comme un des avan­tages majeurs du nou­veau quarti­er (« un cen­tre aqua­tique flam­bant neuf opéra­tionnel pour les JO2024 »)5. C’est la livrai­son d’un quarti­er com­plet et nou­veau dont les amé­nageurs rêvent, avec en son cen­tre des nou­velles pop­u­la­tions. Un pub­lic en pré­va­lence aisé et blanc, qui pour­ra se per­me­t­tre de pay­er non seule­ment les loy­ers de l’écoquartier, mais aus­si les loisirs four­nis par l’aménageur. Les néo-habi­tant·e.s du Fort doit pou­voir avoir une école à deux pas, un cen­tre aqua­tique avec espaces de loisirs, un lieu cul­turel en bas de chez elles·ux. Un pro­jet ambitieux, qui soulève des ques­tions légitimes : pour qui est-il conçu ? Que faire des habi­tant·es actuel·les de la zone du Fort ?

Pour Irène, mobil­isée pour la défense de la cité de la Mal­adrerie : « C’est des pro­jets qui se veu­lent écologiques, artis­tiques, mais j’ai du mal à voir le rap­port avec les artistes et les asso­ci­a­tions qui exis­tent déjà à quelques pas de là ». La réno­va­tion de sa cité, rap­pelle Irène, risque de sig­ni­fi­er la perte du lieu d’activité et de vie de plusieurs artistes et archi­tectes locaux. « D’un côté il y a une pré­cari­sa­tion des artistes ; de l’autre ils et elles sont appelés dans ces nou­veaux cadres où on leur four­nit un espace de tra­vail. C’est une façon d’envoyer les artistes à l’avant ». Et Villes des Musiques du Monde de réciter ses prières pour avoir une place per­ma­nente au sein du Fort. Place que ni la mairie, ni GPA sont prêtes à garan­tir à 100 %, selon nos sources.

La ques­tion du business model des pro­jets d’aménagement revient fatalement au cen­tre du débat : « On ne fait pas d’argent avec une opéra­tion comme ça » nous lance une source anonyme au sein de GPA « Nous, nous finançons les pro­jets comme le Point Fort, et après c’est aux pro­mo­teurs de ven­dre les apparte­ments du quarti­er. ». GPA peut ain­si se démar­quer de tout soupçon d’intérêts com­mer­ci­aux : « Ce n’est pas du tout un pro­jet fait avec une logique com­mer­ciale. Ce qu’on cherche, ce qui est impor­tant, c’est l’ancrage locale, sinon tu es com­plète­ment hors-sol » affirme Sandy Messaoui.

Ces projets urbains ont ensuite été récupérés par des acteurs privés ou associatifs qui en on fait les nouvelles « place to be » des métropoles modernes.

Mais le doute con­tin­ue de plan­er : « Son statut d’établissement pub­lic place d’emblée l’activité de Grand Paris Amé­nage­ment dans le champ de l’intérêt général, tan­dis que son car­ac­tère indus­triel et com­mer­cial lui impose une par­faite rigueur de ges­tion. » récite le site web de GPA6. Lire : les investisse­ments qui appor­tent du prof­it sont pos­si­ble, avec la solid­ité d’une garantie publique. Une dynamique favorisant le prof­it et qui laisse des doutes sur la prise en compte des besoins des habi­tants dans le cadre des pro­jets d’aménagement urbain.

Un proces­sus de gen­tri­fi­ca­tion accélérée et intense, conçue à tra­vers un ensem­ble de pro­jets liés et syn­chro­nisés. Mick­aël Cor­reia nous le livre sans ambages : « Ambi­tion­nant de faire de la région Île-de-France une métro­pole com­péti­tive et mon­di­al­isée, le pro­jet d’aménagement ter­ri­to­r­i­al du Grand Paris entrevoit dans les tiers-lieux cul­turels un out­il de pro­mo­tion de son image de ville fes­tive, inno­vante et écore­spon­s­able à même d’attirer une ‘classe créa­tive’. Une pop­u­la­tion de jeunes cadres qui serait, aux yeux des décideurs, vec­trice de développe­mentéconomique 7. » Les frich­es cul­turelles comme le Point Fort servi­raient ain­si de légiti­ma­tion cul­turelle et sociale pour un pro­jet immo­bili­er qui, dans le fond, vise surtout à sat­is­faire les besoins d’une classe moyenne-élevée qui n’est pas encore instal­lée dans le quarti­er en ques­tion.

Des friches pour les riches ?

Les frich­es cul­turelles sont dev­enues, dans la dernière décen­nie, un opéra­teur cen­tral de l’aménagement urbain. D’abord élé­ments de con­tre-cul­ture con­tes­tataires inspirés des squats, ces pro­jets urbains ont ensuite été récupérés par des acteurs privés ou asso­ci­at­ifs qui en on fait les nou­velles « place to be » des métrop­o­les mod­ernes. L’idée de ne pas gâch­er le temps de vie d’un espace immo­bili­er, en le met­tant à prof­it pour un temps déter­miné tout en util­isant l’image pos­i­tive que les ini­tia­tives cul­turelles appor­tent aux pro­jets, a vite été retenue par les amé­nageurs et les pro­mo­teurs urbains, privés comme publics.

Dans le cas du Point Fort, les inten­tions affichées par Villes des Musiques du Monde sont bonnes, et la longue his­toire de l’association dans le quarti­er ne laisse pas de doute sur la volon­té d’intégrer les habi­tant·es actuel·les du quarti­er du Fort au tiers-lieu. Kamel Dafri, dans l’entretien précédem­ment cité, tient compte de la dynamique de gen­tri­fi­ca­tion que le Point Fort pour­rait cau­tion­ner : « On par­le ici d’un des quartiers pri­or­i­taires de la poli­tique de la ville les plus décriés. Nous n’avons pas voca­tion à val­oris­er du fonci­er mais à faire en sorte que les amé­nageurs tien­nent compte de l’histoire des habi­tants ». L’association parie sur son his­toire d’ancrage locale, en somme, pour pou­voir impacter de quelque manière que ce soit le pro­jet d’aménagement du Fort et en faire un quarti­er qui ne soit pas com­plète­ment hors-sol. Bien qu’inversés, ces objec­tifs coïn­ci­dent avec les intérêts de GPA. La ques­tion est là : Est-il pos­si­ble, dans un con­texte si claire­ment ori­en­té par la val­ori­sa­tion du fonci­er, d’échap­per à cette dynamique ? Est-il pos­si­ble de créer des lieux vrai­ment publics et à la portée de tous·tes ? Ou faut-il se résign­er au fait qu’une telle ini­tia­tive cul­turelle ne peut que se traduire en un lieu « glam­our » de gen­tri­fi­ca­tion : une friche pour les rich­es ?

Gio­van­ni Simone pour Le Chif­fon

Crédit pho­to :

Pho­to de Une > A l’in­térieur du Point Fort. Pho­to de Gio­van­ni Simone.
Pho­to 2 > Aux abor­ds du futur quarti­er, un pan­neau de pro­mo­tion signé Immo­bel. Pho­to de Gio­van­ni Simone.
Pho­to 3 > Le bureau de vente du pro­mo­teur Immo­bel domine déjà l’en­trée du Point Fort, à trois ans de la livrai­son de l’é­co­quarti­er. Pho­to Gio­van­ni Simone.

  1. Pour en savoir plus, lire l’article Les tiers-lieux : qu’est-ce qui cloche ?”, p.8.
  2. “Le fort d’Aubervilliers s’imagine en place forte cul­turelle”, entre­tien avec Kamel Dafri, Enlarge your Paris, 13 décem­bre 2021.
  3. Voir le site web du pro­jet d’écoquartier, “Le Fort en pro­jets, un lieu à vivre” lefortdaubervilliers.fr.
  4. A retrou­ver sur la page Face­book du col­lec­tif :« Sauvons les jardins ouvri­ers d’Aubervilliers », pub­li­ca­tion du 25 juin 2021.
  5. “Aux portes de Paris, le renou­veau urbain à un nom : Fort d’Auvervilliers”, site web du pro­mo­teur Immo­bel. Con­sultable sur : www.appartement-fortdaubervilliers.com
  6. Site web de GPA, con­sultable en ligne, rubrique “Qui sommes-nous”.
  7. “L’envers des frich­es cul­turelles”, Revue du Crieur n°11, 2018. Con­sultable gra­tu­ite­ment sur Cairn.info.

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